samedi 30 mars 2013

Quelques conseils pour faire face au blocage mathématique



Les problèmes de mathématiques ne cessent de présenter une source d’angoisse pour les enfants, et de provoquer l’inquiétude des parents.

Si certains élèves bloquent devant les énoncés d’un exercice, d’autres ne distinguent pas les puissances des multiplications, et d’autres encore y semblent complètement hermétiques et multiplient les exercices de maths en vain.

Afin de réconcilier l’enfant avec cette discipline et pour éviter qu’il ne passe à côté de l’essentiel, quelques conseils sont à prendre en considération.

1-    Être à l’écoute de l’enfant et essayer de définir la source du blocage, qui ne peut en aucun cas être synonyme d’un manque d’intelligence. Certaines notions mathématiques pouvant causer des malaises (inconnu, infini, repères, …) sont probablement la cause de la paralyse face à cette discipline. 

2-    Valoriser les acquis de l’enfant, aussi moyens soient-ils afin de le rassurer et de lui redonner confiance en lui. Le pénaliser pour une mauvaise note n’arrangera rien à la situation, bien au contraire, une telle attitude risque de renforcer encore plus le blocage.

3-    S’armer de patience pendant l’accompagnement de l’enfant lors de ses tentatives pour combler ses lacunes en maths. Tout comme le raisonnement mathématique, la patience, la précision tout comme la concision sont de rigueur.

jeudi 21 mars 2013

Refondation de l’école républicaine



La refondation de l’école républicaine est une réforme corollaire de celle relative aux rythmes scolaires, mais qui constitue un outil de taille, entre les mains du ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon, compte tenu des avantages qu’elle garantit, parmi lesquels :
-    Création de 60.000 nouveaux postes durant le quinquennat, répartis entre l’Education, l’enseignement supérieur, l’enseignement secondaire, l’enseignementprimaire,  et la formation des enseignants.
-     Création d’établissements de formation des enseignants pour la rentrée 2013.
-     Création d’un fond dont les ressources seront allouées aux communes en contrepartie de leur prise en charge des activités périscolaires.
-   Incitation à la scolarisation des enfants ayant moins de 3 ans en minimisant les facteurs de pression sources de l’échec scolaire, et en garantissant l’égalité des chances d’accès à l’enseignement, notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés.
-       Augmenter le nombre d’enseignants dans les zones défavorisées afin de maitriser les risques de l’échec scolaire.
-    Apprentissage d’une langue vivante dès le cours préparatoire afin de combler les lacunes constatées en langues étrangères.
-       Trouver une alternative au redoublement puisque son coût devient insupportable et son efficacité quasi inexistante.
-          Dispense de cours d’éducation civique et d’éducation morale.
-          Mise en place de l’enseignement à distance
-          Attribution de diverses prérogatives au Conseil supérieur des programmes


samedi 16 mars 2013

A t-on trouvé l'origine d l'echec scolaire ?



La problématique liée à l’échec scolaire ne date pas d’hier, mais l’ampleur grandissante qu’elle prend ne peut laisser de marbre les chercheurs, les psychologues, les sociologues et autre partenaires du système éducatif.
 
C’est pour cette raison que Denis Bellano, psychothérapeute et docteur en psychologie s’est penché sur la question épineuse des problèmes scolaires rencontrés par les élèves en général, et sur l’échec scolaire en particulier. L’issue de ces travaux de recherche était la mise au point d’une méthode de rééducation de l’activité logique de l’enfant, appelée la “Remédiation cognitive opératoire”, une solution qui pourrait éviter l’échec scolaire aux élèves.

Les causes d’une telle solution sont les différents constats relevés par Denis Bellano parmi lesquels, la fainéantise caractéristique de la génération actuelle comparée à celle qui l’a précédé, et l’origine sociologique et psychologique des malaises ou mal-être au sein de l’établissement scolaire.

En effet, et bien que nos enfants soient intelligents, il n’en demeure pas moins qu’ils sont assistés et avares en terme d’action et de prise d’initiative. Ce comportement les pousse à un état quasi léthargique, nocif quant à leur évolution.

D’autre part, le docteur constate une inadéquation entre le contenu des programmes scolaires et les problèmes rencontrés par les enfants.


Source


jeudi 7 mars 2013

La réussite scolaire des ados



La réussite scolaire, c’est bien connu, dépend de la volonté conjuguée des parents, des enseignants et des élèves. Si les premiers se trouvent dans l’incapacité d’inscrire leurs enfants dans une dynamique créatrice de réussite, les enseignants doivent utiliser les moyens efficients, capables d’éviter l’échec. Encore faut-il que l’élève s'exprime et soit convaincu de réussir. 

Confiance en soi et motivation


Pour ce faire, il doit être confiant et se fier en ses capacités de réussite. De nombreuses études ont démontré la corrélation qui existe entre la confiance en soi, et les résultats obtenus.
Partant du principe que la confiance, aussi bien qu’on accorde aux autres que celle qu’on a pour soi-même doit se mériter, l’élève doit la gagner de façon graduelle en se fixant des objectifs par matière, en commençant par celles qui lui sont les plus abordables, et en élevant, au fur et à mesure, la barre un peu plus haut à chaque fois que le défi est relevé.

La motivation ainsi que le plaisir provoqué par l’amour du travail bien fait, constituent les premières boucles du cercle vertueux de la réussite.

Les adultes ont aussi un rôle important à jouer en valorisant les bons résultats de l’élève et en relativisant les échecs, en l’encourageant afin de lui redonner confiance, en lui faisant sentir qu’on est impliqués et en s’informant régulièrement sur son travail et les éventuelles difficultés qu’il rencontre. Si nécessaire, les parents ne doivent pas hésiter à avoir recours à un professeur particulier pour soutien scolaire.